Dans la jungle des navigateurs, le dernier-né s'appelle RockMelt. Lancé par le co-fondateur de Netscape, ce nouveau browser fait le pari des réseaux sociaux et ambitionne de séduire dans un premier temps un million d'internautes.
Quelques jours après le lancement d'Internet Explorer 9 qui veut nous faire découvrir un web plus beau, un des fondateurs du premier navigateur, feu Netscape, Marc Andreessen fait à nouveau parler de lui. En finançant le projet deTim Howes et Eric Vishnia, il revient dans la course aux navigateurs avec RockMelt.
Pour se différencier d'Internet Explorer, Google Chrome, Firefox et autre Opera pour ne citer qu'eux, RockMelt fait le pari de la nouvelle façon de surfer sur le web avec les réseaux sociaux.
Ainsi, si vous êtes un utilisateur confirmé de Facebook, Twitter ou Flickr par exemple, ce navigateur est fait pour vous. Basé sur le système Open source Chromium, il intègre d'une façon très poussée, à l'instar de Flock, les différents sites communautaires. C'est notamment le cas de Facebook dont l'inscription est la condition sine qua non pour acquérir la version beta. L'icône du réseau sociale est en permanence présente dans une barre latérale du navigateur lorsque l'on surfe sur le web.
Même si le site de Marck Zuckerberg n'est pas derrière ce navigateur, le co-fondateur de Netscape mise clairement sur le réseau social aux 500 millions de membres. Ce pari audacieux peut-être payant quand on sait que Facebook est en passe devenir le principal concurrent de Google en proposant son propre moteur de recherche et prochainement la possibilité d'envoyer des mails. Espérons que RockMelt ne subisse pas le même sort que Netscape.
mardi 23 novembre 2010
Microsoft propose un client Silverlight pour Facebook
Le design très simpliste de Facebook vous déplait de plus en plus ? Vous ne souhaitez pas attendre qu’un nouveau design soit mis en place ?Alors n’hésitez pas à installer le client Facebook tournant sous le nouveau plug-in bêta, le Silverlight 4. Microsoft veut donner meilleure présentation à Facebook afin de faire la démonstration et la promotion par ce biais de cette nouvelle application, de ses propres technologies.Facebook semble être la cible toute trouvée pour tester ces technologies.
Cette application assez innovante dans son genre, vous permet de faire tout ce qui peut être réalisé d’ordinaire avec Facebook.En l’occurrence, elle tire aussi parti des dernières nouveautés de Silverlight 4. Elle est “out of browser”ce qui veut dire qu’elle fonctionne en dehors du navigateur, comme une application à part entière.
évolutions, et considère cette dernière, comme une vitrine de Silverlight pour donner un avant-goût sur ses possibilités, quant aux applications non intégrées à des pages Web.
L’éditeur Microsoft met ainsi à disposition des utilisateurs une multiplateforme PC Windows et MAC OS X qui tire parti de la technologie Silverlight, dont la version bêta n'est pas encore publique. Les utilisateurs intéressés pourront la télécharger depuis cette page:http://www.silverlight.net/content/samples/apps/facebookclient/
Ensuite,il faudra autoriser le client Silverlight 4 bêta à accéder à vos données Facebook (mur, messages, notifications...). Le résultat alors obtenu est assez esthétique.
Cette application,intégralement écrite en Silverlight, supporte les périphériques(Webcam, Micro, etc…)et permet également la mise à jour des statuts, mais aussi de déposer des photos depuis votre ordinateur vers un album photo.De plus, elle vous notifie vos nouveaux messages.Elle facilite aussi l’ajout d’une photo à un post, à partir de votre webcam ou de votre ordinateur directement dans votre album photos sur Facebook.
Cependant toutes les fonctionnalités de Facebook ne sont pas présentes. Par exemple, la discussion instantanée n’est pas intégrée.
Pour la petite histoire, la firme avait déjà publié, il n’y a pas si longtemps un client pour Windows 7, pour prendre appui sur des fonctionnalités comme les jump-lists ou les notifications à partir de l’icône du logiciel.
Et voila comment l'installer si cela vous incite.
Cette application assez innovante dans son genre, vous permet de faire tout ce qui peut être réalisé d’ordinaire avec Facebook.En l’occurrence, elle tire aussi parti des dernières nouveautés de Silverlight 4. Elle est “out of browser”ce qui veut dire qu’elle fonctionne en dehors du navigateur, comme une application à part entière.
évolutions, et considère cette dernière, comme une vitrine de Silverlight pour donner un avant-goût sur ses possibilités, quant aux applications non intégrées à des pages Web.
L’éditeur Microsoft met ainsi à disposition des utilisateurs une multiplateforme PC Windows et MAC OS X qui tire parti de la technologie Silverlight, dont la version bêta n'est pas encore publique. Les utilisateurs intéressés pourront la télécharger depuis cette page:http://www.silverlight.net/content/samples/apps/facebookclient/
Ensuite,il faudra autoriser le client Silverlight 4 bêta à accéder à vos données Facebook (mur, messages, notifications...). Le résultat alors obtenu est assez esthétique.
Cette application,intégralement écrite en Silverlight, supporte les périphériques(Webcam, Micro, etc…)et permet également la mise à jour des statuts, mais aussi de déposer des photos depuis votre ordinateur vers un album photo.De plus, elle vous notifie vos nouveaux messages.Elle facilite aussi l’ajout d’une photo à un post, à partir de votre webcam ou de votre ordinateur directement dans votre album photos sur Facebook.
Cependant toutes les fonctionnalités de Facebook ne sont pas présentes. Par exemple, la discussion instantanée n’est pas intégrée.
Pour la petite histoire, la firme avait déjà publié, il n’y a pas si longtemps un client pour Windows 7, pour prendre appui sur des fonctionnalités comme les jump-lists ou les notifications à partir de l’icône du logiciel.
Et voila comment l'installer si cela vous incite.
samedi 20 novembre 2010
Google et Microsoft auraient tenté de racheter Twitter !
Les dirigeants du réseau social auraient reçu cette année deux offres de rachat de la part de Google et Microsoft. Ils n'auraient cependant pas donné suite.
Google apprécie Twitter, à tel point qu'il a tenté de racheter cette année le réseau social. Une offre de 2,5 milliards de dollars (1,82 milliard d'euros) aurait été proposée par le géant américain aux dirigeants du site de miccro-blogging selon Business Insider. Ces derniers auraient cependant refusé, jugeant la somme "insultante", d'autant plus qu'une autre proposition serait arrivée sur leur bureau.
En effet, un autre géant de l'informatique, qui serait Microsoft, aurait également décidé de passer à l'action, en donnant un chèque de 4 milliards de dollars (2,92 milliards d'euros). Mais les dirigeants de Twitter n'auraient pas donné suite, alors que la valeur du site est actuellement estimé à 3 milliards de dollars (2,19 milliards d'euros). Un vrai coup de poker qui pourrait permettre de vendre le réseau social pour un prix encore plus élevé. Mais encore faut-il que les propriétaires soient vendeurs...
Un livre blanc sur "les Réseaux Sociaux d’Entreprise"
En 58 pages, ce livre blanc vise à présenter les principales solutions open source de réseaux sociaux d’entreprise, ainsi qu’une analyse des enjeux pour chaque domaine du marché.
Le succès des réseaux sociaux publics tels que Facebook, Twitter, LinkedIn... n’est plus à démontrer. Ils mettent en lumière l’intérêt qu’ont les individus à se rapprocher, à se connaître, à échanger et à travailler ensemble. Et ceci est plus vrai encore dans le contexte des entreprises.
« Les réseaux sociaux d’entreprise (RSE) sont nés du constat que l’entreprise pouvait également utiliser ce type de support pour générer de la valeur. Leur fonctionnement est relativement proche des Facebook et consorts mais conservant les données au sein de l’entreprise. » analyse Grégory Bécue, consultant chez Smile et auteur du livre blanc. « On va chercher à capturer tous les flux d’échanges informels qui ont de la valeur ; avec à la clé un ensemble de bénéfices, mineurs pour certains, mais dont la valeur cumulée peut être immense. »
Cependant les RSE provoquent également un changement culturel important qu’il faut savoir prendre en compte et dont il est nécessaire de maîtriser les spécificités : une approche centrée sur les individus, de nouvelles formes de communication, de nouvelles formes d’accès à l’information.
Après avoir conquis le marché des CMS, des portails, des outils système et réseaux ou encore de la BI, l’open source est aujourd’hui très présent sur les outils de RSE.
Lien : Le livre blanc
Le succès des réseaux sociaux publics tels que Facebook, Twitter, LinkedIn... n’est plus à démontrer. Ils mettent en lumière l’intérêt qu’ont les individus à se rapprocher, à se connaître, à échanger et à travailler ensemble. Et ceci est plus vrai encore dans le contexte des entreprises.
« Les réseaux sociaux d’entreprise (RSE) sont nés du constat que l’entreprise pouvait également utiliser ce type de support pour générer de la valeur. Leur fonctionnement est relativement proche des Facebook et consorts mais conservant les données au sein de l’entreprise. » analyse Grégory Bécue, consultant chez Smile et auteur du livre blanc. « On va chercher à capturer tous les flux d’échanges informels qui ont de la valeur ; avec à la clé un ensemble de bénéfices, mineurs pour certains, mais dont la valeur cumulée peut être immense. »
Cependant les RSE provoquent également un changement culturel important qu’il faut savoir prendre en compte et dont il est nécessaire de maîtriser les spécificités : une approche centrée sur les individus, de nouvelles formes de communication, de nouvelles formes d’accès à l’information.
Après avoir conquis le marché des CMS, des portails, des outils système et réseaux ou encore de la BI, l’open source est aujourd’hui très présent sur les outils de RSE.
Lien : Le livre blanc
vendredi 19 novembre 2010
Un Français sur deux effectue des achats en ligne
Les dernières réticences vis-à-vis des achats en ligne sont en train de tomber. Selon l’Observatoire des usages Internet établi par Médiamétrie et la Fevad, le nombre de cyberacheteurs a augmenté de 18 % en un an. Désormais ce sont 27 millions d’internautes qui sont devenus adeptes des achats en ligne. Soit 73 % des internautes et, chiffre plus frappant, un Français sur deux. Les plus de 65 ans sont aussi en train de se convertir à ce mode d’achat : le nombre de cyberacheteurs seniors a augmenté de 73 % en un an.
Selon la fédération de l'e-commerce, un acheteur a dépensé en moyenne 373 euros auprès des cybermarchands au cours du troisième trimestre 2010, avec un panier moyen de 92 euros par transaction.
L’arrivée des fêtes de fin d’année va continuer à soutenir le secteur. La Fevad prévoit que les Français vont dépenser dans les boutiques en ligne plus de 6,1 milliards d’euros à cette occasion, soit 22 % de plus que l’année passée.
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